Quelle tête as-tu?
Chanson, musique, danse et comédie
Les housses à vêtement deviennent maisons, les balais deviennent personnages, une moto devient vache, l’aspirateur devient mouton, les rouleaux de papier-toilette deviennent serpent blanc, le porte-manteau devient bois de cerf…
Les comédiens évoluent dans un bazar ré-créatif et joyeux ! Le fil du jeu secrètement ordonne les éléments qui se répondent, les chansons s’envolent et se posent, les danses développent les images.
Age : 0 à 4 ans
Durée : 40 mn
Dimension plateau : 8x6m / adaptable selon le lieu
Distribution :
Donin : chant, comédie, danse
Justine Devin : chant, comédie, danse
Alexandre Breuil : régisseur
Le porte-manteau devient cadre pour des jeux de portraits, suivis de voltiges délirantes en avion à hélice.
Moment de douceur avec maman, et délice pour les oreilles qui dégustent la cuisine des mots pour appeler le papa. Ce moment de fabrique de mot explore la syllabe pa et permet le passage du frustrant pas jouer de la maman à l’espoir du papa-balai-ballon ; le vocabulaire est varié et parfois surprenant mais les mots sont toujours accompagnés par le corps et le rythme, les hauteurs et volumes de la voix.
Papa est enfin là, mais lui non plus ne veut pas jouer : « Pas aujourd’hui, demain ! »
On danse alors, chaussés de bottes en caoutchouc, et le parapluie invente d’étonnantes et poétiques chorégraphies sur la chanson : « Dis papa, c’est aujourd’hui demain ? »
Entre en scène et en chanson le petit frère, avec qui on ose des jeux périlleux. Chanson : J’ai un petit frère.
Jouer encore et encore avec des rouleaux de papier-toilette : l’histoire d’un serpent blanc qui n’en finit pas de tourner, et le rouleau de se dérouler … Jouer sans tout gaspiller ? Alors fabriquons une haute tour, une pyramide … des lunettes, une longue vue, des oreilles d’ours. Chanson : Je suis un ours brun. Les jeux et le swing de la danse ont mis un sacré bazar sur la scène, c’est le temps de débazarrer ! Et si le public comptait jusqu’à 20 ? Suspens…puis soulagement…
Soudain le vent se lève. Il est fort, il est doux ; il est froid, il est chaud. Chacune et chacun souffle dans ses mains … Chanson : Si j’étais le vent.
La grosse flûte divague, les vagues enflent, et une fée ou une sirène va s’y mouvoir pour nous émouvoir car elle s’approche, danse parmi nous : moment de grâce … Enfin une voile, un voilier apparaît à l’horizon puis navigue sur nos têtes. Chanson : Sur le quai.
Tout le monde est parti en voyage ? Non ! Le petit chat est resté et nous invite à de douces gestuelles. Chanson : Sous mon toit.
La fin du spectacle : retour à la dure réalité ? Justine débarque avec un aspirateur et elle fait triste mine : mais quelle tête as-tu ? La machine est cassée, elle ne marche plus ! Qu’importe ! Ne peut-on oser métamorphoser l’objet ? s’amuser à le réinventer : pourquoi pas en ceci, en cela, en tout et pas n’importe quoi ! Comme cette moto devenue vache cabriolante, l’aspi aspire alors à être blond mouton !
La parade finale n’en est que plus belle et joyeuse et à la queue meuh-meuh, on prend la clé des chants avec Charles Trénet :
Une vache sur un mur
Qui rumine du pain dur
Rumini, rumina
Lève la queue et puis s’en va !
Puis avec Justine, Donin et tout le public, on garde l’air et on réinvente les paroles et le monde, on chante en gestes et en choeur !
Un mouton dans un salon
Qui aspire à être blond
Aspiri, aspira
Lève la trompe et puis s’en va
Des enfants petits et grands
Des nounous et des parents
Tapent ici, tapent là
Sautent moutons et puis s’en vont …
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